• Amour naissant page -4-

     

     

    Amour naissant 

     

    Ils n'arrivaient plus à se séparer. Geneviève blottie dans ses bras, sans défense, de tout son être appelait sa protection.

    — Mon dieu ! Pensa Bob, comme je vais l'aimer !

    Geneviève murmura tout bas :

    — Ne me laisse pas ! Ne me laisse plus ! Je ne veux plus revoir cet homme ! Bob, garde-moi près de toi ! J'ai si peur de lui !

    — Je suis là ma douce. Je ne te laisserai plus partir : Je t'aime !

    Geneviève ne savait plus que dire. Jamais, à part son premier amour qui n'était plus, on ne lui avait dit ces mots. après avoir foulé toutes les feuilles des allées du bois de Vincennes, sans s'en rendre compte, les amoureux s'étaient redirigés vars la Mercedes.

    — Nous allons rentrer maintenant. Je te ramène à notre hôtel. Nous dînerons au restaurant de celui-ci. Nos chambres ont été changées et j'ai demandé des chambres communicantes pour être plus près de toi afin que tu te sentes rassurée. Demain, tu reprends ton travail à huit heure trente...

    En cette fin d'après-midi, Geneviève comprenait enfin la signification du verbe aimer et ce n'était pas du tout le même ressentit qu'avec son cher William qui avait donné sa vie pour son pays. Elle releva la tête baignée de larmes qu'il essuya d'une caresse et leurs bouches s'unirent pour la deuxième fois. Geneviève offrait ses lèvres aux baisers brûlants de Bob, innocente et gourmande à la fois. Ses yeux fermés savouraient cette délicieuse sensation. Occupés tout entier à leur amour naissant, mais déjà si fort, ils n'avaient pas vu l'heure, confortablement et amoureusement blotti l'un contre l'autre. Il fallait se décider à partir. Il était plus de vingt et une heure? Bob mit le contact en pensant que le temps, en la compagnie de la jeune femme était passé si vite, que ni l'un, ni l'autre, n'avait envie de se séparer. La nuit s'était installée depuis un bout de temps et voilà que la pluie s'y mettait elle aussi. Geneviève, à travers les essuies-glaces, ne voyait pas grand chose et se tassa un peu plus dans la profondeur du siège ou elle ferma les yeux. Elle se sentait bien aupré de Bob. Sa présence la rassurait. Le jeune homme hasarda un regard de côté et de la voir endormi le fit fondre. doucement, il tourna un des boutons du poste qui diffusait une musique d’ambiance afin de ne pas la déranger. Lorsque la Mercedes fut à l'arrêt complet, Geneviève s'éveilla :

    — Qu'elle heure est-il ?

    — Le voiturier va venir garer la voiture et nous allons aller dîner. Il n'est pas trop tard pour se restaurer.

    — Avant, j'aimerai bien prendre un bain, si cela est possible, me rafraîchir, et changer de tenue : ce qui serait plus approprié pour aller en soirée dans le restaurant de l'hôtel. Ne trouves-tu pas ?

    — Il en sera fait sera selon ton désir mon amour ! Et sur ce, Bob ne put s’empêcher de baiser ses lèvres douces qui se prêtaient aux siennes avec volupté.

     

    A suivre...

     

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 19 Avril 2018 à 10:48

    Bonjour,

    je continue la lecture de ce roman d'amour,

    enfin de l'amour pour la pauvre Genevieve, elle en avait besoin

    enfin elle est loin de sa pauvre condition, et va bien evoluer dans sa vie maintenant, je l'espere

     

     

      • Jeudi 19 Avril 2018 à 12:07

        Attends-toi à un retournement de situation mon cher Philippe... dans peu de temps. LOL !

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    2
    Jeudi 19 Avril 2018 à 10:48

    petite erreur en fin de cette page 04 tu as ecrit

    Il en fait sera selon ton désir mon amour

    au lieu de

    "Il en sera fait selon ton désir mon amour"

      • Jeudi 19 Avril 2018 à 12:05

        Bonjour Philippe,

        Je te remercie pour ton aide cher Philippe pour cette faute d’inattention que je n'ai même pas vu, car à force d'écrire, l’œil fatigue, et le cerveau voit le mot qui manque comme-ci il était écrit.Tu m'es d'un grand secours, et je t'en suis d'autant plus reconnaissante. Les personne qui viennent  me dire les choses avec gentillesse, je les accepte avec reconnaissance. Un roman : c'est long : c'est pour cela que je n'en écrie pas plus de deux par jour quand l'inspiration est là. Bonne journée cher Philippe et encore merci!

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